On les appelle les « sulfateuses à PV » ou « scan cars ». Ce sont des voitures équipées d'un système à lecture automatique des plaques d'immatriculation (LAPI) qui depuis septembre 2024 sillonnent les rues de Nantes où le stationnement est payant.
Ce nouveau contrôle automatisé du stationnement vient renforcer le dispositif visant à réduire le nombre de voitures à Nantes (extension des zones payantes augmentation du prix des amendes, réduction drastique des places de stationnement ….) et à améliorer la qualité de l’air. Face à ces nouvelles contraintes, il existe une solution simple, économique et pratique : le service marguerite, le véhicule en libre-service à Nantes. On fait le point.
Parole d'utilisateur : "marguerite, pour faire des économies ! "
Article rédigé par Jonathan GILBERT • vendredi 23 février 2018

Pourquoi avez-vous choisi marguerite ?
« Nous sommes un cabinet de conseil en développement durable qui emploie 200 collaborateurs sur toute la France et 32 à Nantes. Nous disposons d’une flotte de 4 véhicules de société. Mais c’est insuffisant pour assurer tous les déplacements de nos collaborateurs, qui pour la plupart n’ont pas de véhicules personnels. C’est pourquoi, nous nous sommes abonnés en 2011 au service d’autopartage marguerite, dans le cadre du département mobilité de notre activité. L’objectif premier était de réaliser des économies sur nos déplacements. »
Comment utilisez vous le service ?
« Nous utilisons marguerite pour aller voir nos clients dans Nantes et jusqu’à 70 km autour de Nantes. »
Quels avantages ?
« Le service offre plusieurs avantages : les voitures sont disponibles et de bonne qualité, c’est très facile et rapide de réserver via l’application mobile, l’abonnement marguerite permet d’accéder facilement au centre-ville et aux parkings. Il faut ajouter la proximité de la station marguerite depuis qu’il en a été créé une juste à côté de nos bureaux, boulevard Dalby. »
A quelle fréquence utilisez-vous le service ?
« Nous empruntons un véhicule marguerite environ une fois par semaine. Il reste encore à développer son usage en interne. »
Marie-Hélène R. assistante de projets et site à Nantes